Banalité de base : tout se transforme. Le bonheur est aussi transitoire que le malheur, pas une raison pour ne pas se réjouir, mais jamais se faire d’illusion, la roue tourne en permanence. On ne se baigne jamais deux fois dans la même rivière.
C’est les montagnes russes : on monte, on descend. Il y a les cycles courts, les cycles longs. Je comprends que les uns sont un reflet des autres, à une échelle différente. Le monde est une grande fractale. Les formes sont universelles et la forme montagne russe, c’est juste la roue qui se déploie dans le temps. Voir le lien entre la fonction sinusoïde et un cercle : t’as compris.
En fait la paix arrive quand tu as compris que tu n’es pas un point fluctuant sur la circonférence du cercle, mais au centre. Alors la rotation apparait pour ce qu’elle est : un jeu, c’est lila, c’est pas des bonheurs et des malheurs. D’ailleurs, le but n’est pas d’être heureux, le but est de jouer, prendre part au grand jeu, celui qui englobe tout. Il y a des musique qui ne sont ni joyeuses ni tristes, puissantes, potentiellement terrifiantes, mais pas ancrées dans le négatif, elle peuvent te terrasser, mais si tu te laisses emporter, alors tu arrives à Lila.
Réflexion : l’amour véritable se situe au centre. L’amour véritable est au delà du bonheur et du malheur.
Bref.
Aum.